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Analyser l'image sur ce site puis rédiger une EC2 : analyser les relations entre grève taux de syndicalisation
source Journées individuelles non travaillées et taux de syndicalisation en France depuis 1975
Champ : Pour les données sur les grèves, toutes entreprises hors fonction publique sur l'ensemble de la période, hors entreprise publique du secteur des tranports à partir de 1996; la série s'interrompt en 2004, remplacée par un autre mode de comptabilisation. - Aout 2008
Source : DARES Dernière modification le dimanche 01 Mai 2016 à 16:01:54
theprof
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Dernière modification le dimanche 01 Mai 2016 à 16:00:52
theprof
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noémie jeannot
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il s'agit d'un diagramme en bâton presentant le taux de syndicalisation et le nombre de journées non travaillées en France d?après dares en 2008.
d?après ce diagramme on peut mettre en corrélation le nombre de journée non travaille et le taux de syndicalisation . en effet les deux courbes évoluent de la même manière on peut donc constater que la baisse des syndicats entraine une baisse des journée non travaillée . cela montre la baisse de l'influence des syndicats . le nombre de journée non travaillé a baissé de 94.6% en France entre les années 1975 et 2004. La première période qui est de 1975 à la fin des années 80 montre une diminution rapide et forte du nombre de JINT et du taux de syndicalisation. le taux de syndicalisation à baissé de 9 point de pourcentage en un peu plus de 10 ans .
La deuxième période qui se déroule de la fin des années 80 à 2004.
montre les deux indicateurs continu de baisée a un rythme beaucoup moins grand. le taux de syndicalisation est passé de 9% a 7.8% entre la fin des années 80 et 2004.
Où sont les unités ? Deuxième paragraphe à approfondir. orthographe et grammaire ? 10
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Eloi
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Choix : évolution des formes de conflits collectifs
Le document présent ici est un graphique en barres réalisé dans le cadre d'une enquête réponse. Il nous montre les évolutions des formes de conflits collectifs sur deux périodes données : 1996-1998 et 2002-2004.
Dans un premier temps, on peut observer que les grèves de 2 jours et plus ont baissées entre les deux périodes, passant de 3% sur la période 1996-1998 à 2.6% sur la période 2002-2004 alors que les grèves de moins de 2 jours ont elles augmentées, passant de 7.5% sur la période 1996-1998 à 9.3% sur la période 2002-2004. Les salariés semblent donc avoir une préférence pour les conflits de courte durée.
On peut observer que les formes de conflits hors grèves, disposaient déjà sur la période 1996-1998 de parts bien plus importantes que celles-çi : 3.2% pour les heures sup, 4.9 pour les manifs et 8.5 pour les pétitions contre 1% pour les grèves perlées et 0.9 pour les grèves du zèle. Aujourd'hui, les écarts se sont agrandis. On peut établir la corrélation avec le fait que la grève pèse sur le pouvoir d'achat des salariés là ou les autres formes de conflits sont moins couteux.
Enfin, on observe que seules les grèves de deux jours et plus ont baissés entre les deux périodes étudiées là où les autres formes de conflits du travail sont toute en hausse, particulièrement les heures supplémentaires qui atteignent 9.8% sur la période 2002-2004
Un travail incomplet sur la présentation ( entreprises de moins de 20 salariés, source ?)
Pour l'analyse, c'est en revanche plus complet mais il faut plus sélectionner les idées 12
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Ce document de la DARES (données de grèves) et de l'OCDE (données de syndicalisation) datant de Août 2008 représente par un graphique le nombre de journées de grève ainsi que le taux de syndicalisation entre 1975 et 2004.
On observe grâce à ce document que globalement entre 1975 et 2004 le nombre de JINT(Journées individuelles non travaillées) à baissé et que le taux de syndicalisation voit sa croissance ralentir. En effet le nombre de JINT a baissé de 94,6 % entre 1975 et 2004 et le taux de syndicalisation a baissé de 64,5 % entre 1975 et 2004. On peut également distinguer deux sous périodes, la première allant de 1975 à la fin des années 80 où le nombre de JINT et le taux de syndicalisation diminuent. Et une deuxième période de la fin des années 80 à 2004 où les deux indicateurs continuent de baisser mais à un rythme beaucoup plus faible.
Les deux variables évoluent dans le même sens c'est pourquoi on peut dire qu'il existe bien une corrélation entre ces variables, on peut alors emmètre une théorie sur la causalité de celles-ci. Par conséquent la baisse du taux de syndicalisation révèle donc une baisse de l'influence des syndicats puisque les syndicats sont souvent à l'initiative des grèves.
Penser aux unités dans la présentation du doc; séparer les paragraphes notamment la périodisation de l'analyse générale
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La grève et le taux de syndicalisation ont une tendance négative. Depuis 1975, en France, le taux de syndicalisation est passé d'environ 4400% à 1450% en 2008.
On distingue que ces deux variables évoluent de la même manière au fil du temps. Y a t-il une corrélation entre le nombre de journée non travaillé et le taux de syndicalisation ?
Selon DARES en France on a pu constaté deux sous périodes, la première période a commencé en 1975 jusqu?à la fin des années 80 puis est venu la seconde jusqu'en 2004.
De 1975 à 2004 le nombre de journée individuel non travaillé à baisser de 94.4%. On peut parler de causalité puisque les syndicats sont souvent à l'initiative des grèves.
La baisse du taux de syndicalisation révèle donc une baisse de l'influence des syndicats.
helton
Pas de présentation du doc
erreur de lecture 7
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Ce document est un graphique qui représente les journées individuelles non travaillées ainsi que le taux de syndicalisation entre 1975 et 2008.
Dans ce graphique on observe que les JINT et le taux de syndicalisation ont littéralement chuté; en effet en 1975 le nombre de JINT dépasser les 3000 journées alors qu'en 2004 on comptabilise seulement 193 journées de grèves. Le taux de syndicalisation a énormément chuter également, plus de 20% alors qu'en 2004 seulement 7,8% de syndicalisation.
Pas de présentation du doc
erreur de lecture 7
A développer
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Le document est un graphique possédant deux informations ; un graphique bâton qui nous montre l'évolution des journées individuelles non travaillées( en milliers) et une courbe représentant le taux de syndicalisation ( en %) de 1975 à 2004.D'après DARES pour les données sur les grèves. OCDE pour les données sur la syndicalisation.
Sur une vision d'ensemble nous pouvons voir que le nombre de JINT a baissé de 94,6 % entre 1975 et 2004 et que sur la même période le taux de syndicalisation a baissé de 64,5%. On peut alors faire l'hypothèse suivante : Les deux variables évoluent dans le même sens, il y a donc une corrélation entre les deux variables. Cela est surement ce que l'on appelle la causalité puisque les syndicats sont souvent à l'initiative des grèves.
Cependant il existe deux périodes notables.La première période : de 1975 à la fin des années 80. Durant cette période le nombre de JINT diminue par palier, en dents de scie et le taux de syndicalisation diminuent par conséquent. La deuxième période : de la fin des années 80 à 2004. Durant cette période, les deux indicateurs continuent de baisser mais à un rythme beaucoup plus faible. Les deux informations que nous donne ce graphique reste donc liés.
Bon travail, un petit point d'approfondissement sur la corrélation aurait été bien vu 16
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Le graphisme représenté ci-dessus nous montre l'évolution du taux de syndicalisation et les journées individuelles non travaillées ( échelle de gauche , milliers) dans la période de 1975 à 2008.
On peut remarquer que en 1976 , année où les journées individuelles non travaillées sont les plus présentes , il y en a eu 400 000 , sachant qu'en 2004 il y en avait 193 000.
Le taux de syndicalisation est passé de 22 % à 7,8 %, il a donc baissé de 14,2 points , soit le taux de syndicalisation a baissé de 64,5 % entre 1975 et 2004.
Les deux varaibles évoluent dans le même sens, on a bien une corrélation entre les deux variables.
On peut parler de causalité puisque les syndicats sont souvent à l'initiative des grèves.
Présentation incomplète
Dans chaque paragraphe, amener une idée générale et une illustration
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C'est un graphique du DARES représentant les évolutions des Journées Individuelles Non Travaillées (JINT) en milliers ainsi que du taux de syndicalisation. L'échelle de gauche correspond aux données des JINT et l'échelle de droite aux données du taux de syndicalisation. Les JINT sont calculées en multipliant le nombre de jours de grève cette année là par le nombre de grévistes. Le taux de syndicalisation est calculé en divisant le nombre de salariés syndicalisés par le nombre de salariés multiplié par 100%.
Depuis 1975, on constate une diminution des JINT et du taux de syndicalisation. En effet, d'une part, on s'aperçoit en calculant le taux de variation des JINT que ceux-ci a baissé de 94,6 entre 1975 à 2004 ; (193-3 600)/3 600x100 = -94,6. D'autre part, Le taux de syndicalisation est passé de 22 % à 7,8 %, il a donc baissé de 14,2 points.
On constate une corrélation entre le nombre de JINT et le taux de syndicalisation. En effet, ils évoluent dans le même sens. On peut supposer qu'il s'agit d'une causalité puisque les grèves sont souvent causées par les syndicats. La baisse du taux de syndicalisation montrerait alors la baisse de l'influence des syndicats.
Petite erreur sur le 100% dans le premier paragraphe. Bonne initiative de détailler ses calculs. Travail sérieux. 17
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Ce document est un graphique qui présente les journées individuelles non travaillés et le taux de syndicalisation de 1975 a 2008.
On peut remarquer une corrélation entre ces deux donnés car il y a une tendance générale a la baisse des JINT et du taux de syndicalisation entre 1975 et 2008. Il y a eu une une forte baisse du taux de syndicalisation de 1975 a 2008, le taux est passé de 22% a 7,8% c'est une baisse de 14,2 points. Le taux de syndicalisation a baissé de 64,5% de 1975 a 2008. Les JINT ont elles baissés de 94,6% de 1975 a 2008. Ce sont de très fortes baisses.
On peut distinguer 2 périodes dans ce graphique : La première période de 1975 à la fin des années 80, car pendant cette période le nombre de JINT et le taux de syndicalisation diminuent fortement. La deuxième période de la fin des années 80 à 2008, pendant cette période, les deux indicateurs continuent de baisser mais à un rythme beaucoup plus faible.
On ne peut que supposer un sens de corrélation et une causalité entre les JINT et et le taux de syndicalisation. On peut parler de causalité car les syndicats sont souvent a l'origine des grèves et gèrent l'organisation de ces grèves. La baisse du taux de syndicalisation révèle une baisse de l'influence des syndicats.
Présentation un peu trop succincte. Sinon un bon travbail d'analyse.
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Sha'nee Ruard
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Le graphique présenté montre l'évolution du taux de syndicalisation et les journées individuelles non travaillées dans la période 1975-2008.
Nous pouvons voir qu'en 1976, année où les JINT sont les plus présentes qu'il y en a eu 400 000, nombre élevé sachant qu'en 2004 il y en avait 193 000.
Nous pouvons observer que cette évolution a une relation avec le taux de syndicalisation puisque celui-ci baisse également ; en 1976 il est de 21% et passe en 2004 à 7,8%, il y a une baisse de 13,8 points.
On peut donc distinguer deux périodes dans ce graphique ; La première période : de 1975 à la fin des années 80. Durant cette période le nombre de JINT et le taux de syndicalisation diminuent.
La deuxième période : de la fin des années 80 à 2004 les deux indicateurs continuent de baisser mais à un rythme beaucoup plus faible.
On peut supposer une corrélation entre ces deux données puisque les deux variables évoluent dans le même sens et une causalité puisque les syndicats sont souvent à l'initiative des grèves. La baisse du taux de syndicalisation révèle donc une baisse de l'influence des syndicats.
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C'est un graphique qui représente: une courbe pour le taux de syndicalisation et des bâtons pour les JINT de 1975 jusqu'à 2008 d'après DARES.
Le taux de syndicalisation ainsi que les JINT ont tendances à fortement chuter depuis 1975.
En 1975, le taux de syndicalisation en France était de 22% et est passé en 2004 à 7,8%, il a baissé de 64,5 % entre 1975 et 2004, on constate aussi que le nombre de JINT a baissé de 94,6 % entre 1975 et 2004, selon DARES.
On peut constater que lorsque le taux de syndicalisation diminue, le nombre de JINT baisse aussi. On peut donc supposer que ce graphique montre l'existence d'une relation entre la grève (JINT) et le taux de syndicalisation.
doriane
Allez kiss
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