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Cours et activité sur la mondialisation

Cours 4.1.

 

Activité 1. 

 

Cours 4.2

 

Activité 2

 

Cours 4.3

 

Activité 3. 


28/11/2015
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3.1. La croissance économique s"accompagne de fluctuations


Croissance : une reprise fragile 

A. La croissance est instable

            La croissance effective est instable : à des périodes de croissance soutenue (expansion ex 30 glorieuses), succèdent des périodes de forts ralentissements, voire de recul de l’activité productive pendant une période plus ou moins longue (récession ou dépression).

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1) Faites une phrase avec la donnée de 2010. 

2) Peut-on dire que le PIB a baissé suite au krach boursier de 2000 ?

3) Illustrez les quatre « saisons » des fluctuations économiques à partir de données extraites du graphique. Ces quatre saisons étant : expansion, crise (au sens strict), récession, reprise

 

 taux de croissance france depuis 1950.png

4) Quelle tendance peut-on mettre en évidence à partir de la courbe jaune ? 

 

  La récession survient lorsque la croissance économique est négative pendant au moins six mois consécutifs. Lorsque la baisse de la production se prolonge, par exemple sur plusieurs années, on assiste à un phénomène de dépression économique.  A l'inverse une période d'expansion qui se prolonge aboutit à une phase de croissance. 

 

 

Court terme

Moyen ou long terme

Hausse du PIB

Expansion 

Croissance

Baisse du PIB

Récession

Dépression

 

 

Au sens strict, le terme de « crise » désigne le point de retournement à la baisse de l’activité économique ; au sens large, il désigne l’ensemble de la période au cours de laquelle l’activité est déprimée, le chômage élevé, etc. ; la crise se termine alors grâce à la « reprise ».

 

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            On appelle fluctuations économiques l’ensemble des mouvements de ralentissement ou d’accélération du rythme de la croissance économique. Pendant les phases d’expansion, les prix (inflation), les taux d’intérêt, les salaires, l’emploi, la production, le crédit ont tendance à croître mais ils diminuent pendant les phases de récession. Ainsi, le repérage des fluctuations s’opère grâce à des séries statistiques (annuelles, trimestrielles, mensuelles) qui portent sur le volume de la production, les prix, le chômage, le niveau des stocks, les carnets de commande des entreprises, etc. (par exemple en France les enquêtes de conjoncture réalisées par l’INSEE).  

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 Les cycles économiques désignent des fluctuations plus ou moins régulières, de fréquences relativement périodiques et d'amplitude plus ou moins fixes de l'activité économique.Les économistes ont repéré plusieurs types de cycles que l'on peut distinguer par leur durée : les cycles Kitchin d'une durée de 3 à 4 ans sont liés aux variations de stocks dans l'économie, les cycles Juglar ou cycle des affaires ont une durée de 7 à 10 ans, ils sont liés aux variations de l'investissement, et les cycles Kondratieff sont des cycles long d'une durée approximative de 50 ans, ces derniers étudiés par J.A.Schumpter sont liés à une innovation radicale qui se propage en essaimant des grappes d'innovations. 

Capture d'écran 2015-09-06 20.01.25.png

Capture d'écran 2015-09-06 19.36.50.png

 

 

Capture d'écran 2015-08-30 21.24.14.png

 

Avec la mondialisation, les cycles des différents pays se suivent.

 

Exercice : Allez sur le lien et comparez les différentes zones. Pays de l'Est, Amérique du Sud, Afrique. Qu'en déduisez vous ?

 


 

 B. Croissance potentielle, croissance effective et politique économiques

La croissance économique potentielle est évaluée par le taux de croissance du PIB potentiel, c’est-à-dire du PIB maximal qui pourrait être réalisé grâce à la pleine utilisation des facteurs de production disponibles (population active occupée, capital fixe, progrès technique). Le PIB potentiel est donc une évaluation de la production maximale qu’il serait possible de réaliser sans tension inflationniste : c’est une mesure des capacités d’offre de l’économie. Compte tenu de l’évolution passée de facteurs de production, la croissance potentielle de la France ne dépasse pas les 1,5% par an entre 2008 et 2015.

La croissance effective correspond à la croissance réellement obtenue par le pays. Elle dépend essentiellement des variations de la demande globale  (consommation finale, investissement, exportation et variation de stocks)

Y = C + I.PNG

Lorsque la croissance effective est supérieure à la croissance potentielle, cela conduit à des tensions inflationnistes car la demande augmente plus vite que l'offre. Lorsque la croissance effective est inférieure à la croissance potentielle, on assiste à une montée du chômage, car le niveau de production est insuffisant pour employer ceux qui recherchent un emploi. L’écart entre croissance effective et croissance potentielle permet donc d’appréhender l’instabilité de la croissance.

Capture d'écran 2015-09-06 19.37.13.png

 

  Face à une situation où la croissance est insuffisante pour assurer le plein emploi, il convient de déterminer si cela résulte d’une croissance effective inférieure à la croissance potentielle (ce qui relève de la politique économique conjoncturelle) ou d’une croissance potentielle insuffisante (ce qui relève d’une politique économique structurelle). 

 

pib effectif et croissance potentielle.PNG

 

Par exemple, si l'analyse de la situation économique conclut que la croissance effective est inférieure à la croissance potentielle, l'Etat doit mettre en place une politique de relance pour lutter contre le chômage. En revanche si l'on estime que la croissance potentielle est insuffisante, l'Etat doit augmenter les facteurs d'offre en favorisant la hausse du taux d'emploi et/ou la hausse des investissements et de la R&D. En France, les politiques actuelles menées par le gouvernement Valls sont fondées sur un diagnostic de croissance potentielle insuffisante qui nécessite un allègement des charges des entreprises (Pacte de responsabilité, CICE) afin qu'elles investissent et créent des emplois. 

 Capture d'écran 2015-09-06 20.06.19.png

 

 

 

De nombreux économistes critiques du pacte de responsabilité plaident cependant avec force pour une politique de relance de la demande. 

 

1. Quels arguments permettent d'étayer l'idée d'instabilité de la croissance ?

2. Faîtes un tableau permettant de synthétiser les différents cycles : nom, durée, cause

3) Pourquoi selon vous la mondialisation aboutit-elle au rapprochement des cycles entre les pays ?

4. Faîtes un schéma permettant de rendre compte de la croissance économique potentielle

5. Faîtes un schéma permettant de rendre compte de la croissance effective

6. sur quel diagnostic repose une politique de l'offre ?

7. Faut-il selon vous relancer l'offre ou la demande dans l'économie française ?

 

        

1) Quelle était l'analyse de la panne de croissance sous tendue par le programme de François Hollande ? 

2) Ce programme a t-il été mis en place ? 

3) Quels sont les risques du pacte de responsabilité ? 

4) Citez 3 autres économistes atterrés en visitant leur site. 

 

 

 


06/09/2015
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3.2. Les explications des fluctuations économiques

A. Chocs de demande et chocs d’offre 

Selon l'interprétation néo-classique, les  cycles sont  des réponses d’agents rationnels à des chocs. On distingue les chocs de demande et les chocs d'offre qui vont se traduire graphiquement par des déplacements des courbes de demande et d'offre agrégées

offre demande.PNG

         La demande globale se compose des achats de biens et service (consommation finale), des investissements réalisés par les entreprises et les administrations publiques mais aussi les ménages lorsqu'ils achètent des logements. A cette demande intérieure, il faut ajouter la demande extérieure, c'est-à-dire es biens et services achetés par le reste du monde qui sont enregistrés comme des exportations. Chacune de ces composantes  (C + I + X) constituent un moteur de la croissance, lorsqu’une des composantes de la demande globale se modifie brusquement on parle de choc de demande . Ces chocs peuvent être positifs : c'est le cas notamment d'une croissance mondiale forte qui aboutit à une hausse des exportations, les entreprises réagissent en investissant. Ce choc de demande positif peut aussi être obtenu par une politique de relance, par exemple une hausse des dépenses publiques qui relance la consommation. 

choc de demannde +.PNG

Inversement, si des chocs de demande négatifs se produisent, ils peuvent provoquer une diminution de la demande globale et conduire à une récession comme dans le cas d'une baisse brutale du pouvoir d'achat des ménages. Ces chocs de demande risquent d’avoir un impact amplifié sur l’activité économique du fait du comportement des entreprises en matière de stocks.

          

  chocs de demande -.PNG

 

 

 

Evolution du PIB en % et contribution à la croissance française en point de croissance du PIB ( Insee 2014)

Capture d’écran 2015-10-25 à 10.47.14.png
1)  Le PIB a t-il diminué sur la période 2010-2014 ? 

2) Comment peut-on observer sur ce document l'impact de la demande sur l'investissement  ? 

3) A quel moment les entreprises reconstituent-elles leur stocks ? 

 

 

Dans la théorie keynésienne, deux effets vont amplifier les chocs de demande : l'effet multiplicateur et l'effet accélérateur. L’effet multiplicateur repose sur le fait que la dépense d'un agent économique engendre un revenu pour un autre agent qui va le dépenser à son tour et ainsi de suite. Ainsi une hausse de l'investissement se traduit par une augmentation plus importante du PIB compte tenu de la multiplication des dépense qu'elle va engendrer. Cet effet multiplicateur est cependant diminué par les fuites vers l'épargne et les fuites vers les importations : plus la propension à épargner et/ou à importer est forte, moins l'effet multiplicateur est important. Inversement, lorsque la demande ralentit, la production peut baisser beaucoup plus fortement si les entreprises décident de réduire leurs stocks afin d’anticiper une baisse plus marquée de la demande ; la hausse du chômage, la baisse du nombre d’heures travaillées en général risquent alors de contribuer à accentuer ce ralentissement. L'effet accélérateur va jouer si les capacités de production des entreprises sont pleinement utilisées, dans ce cas face à une demande en expansion les entreprises vont investir très fortement pour faire face à la demande anticipée. L'investissement, dans la théorie keynésienne est une variable clé car elle sur-réagit aux chocs de demande.

effet accélérateur et multiplicateur.PNG

 

 Les chocs d’offre sont des variations des conditions de la production ; ils découlent notamment de la variation de la productivité, de la variation brusque du prix des facteurs ou encore de l'apport ou de la  destruction de facteurs de production. Les chocs d’offre négatifs sont causés généralement par une hausse du coût des matières premières (chocs pétroliers de 1973 et 1979 par exemple), par des augmentations de salaires supérieures aux gains de productivité (comme au cours des années 1970) ou par un alourdissement de la fiscalité sur les entreprises ou encore par les conflits et les catastrophes naturelles (guerre, tsunami). En cas de choc d’offre négatif, l’activité économique devient plus coûteuse et les entreprises les moins productives et compétitives risquent d’être acculées à la faillite.

 

Les chocs d'offres positifs sont généralement causés par des innovations qui permettent des gains de productivité et abaissent les coûts unitaires de production. En abaissant les prix des produits, elles favorisent leur diffusion auprès des consommateurs et donc l’augmentation de la production. En cas de choc d’offre positif, la situation des producteurs s’améliore par la diminution de leurs coûts de production ; ils peuvent dès lors éventuellement produire davantage et tirer la croissance économique.  Ex 1 : la baisse du prix du pétrole constitue un choc d’offre positif ; Ex 2 : l ’apport des nouvelles technologies

 choc d'offre +.PNG

 

 

 chocs.PNG

 

exercice 1

 

B. Cycle du crédit et déflation par la dette (causes endogènes)

            Le cycle du crédit permet d'expliquer le caractère endogène de l’instabilité de la croissance : en période d’expansion économique, surtout si la situation économique est saine (faible taux d’intérêt, faible inflation),  les agents s’endettent, financent des investissements ou une consommation à crédit, ce qui dynamise la demande et renforce la croissance donc l’optimisme général. Cependant, le taux d’endettement des agents augmente, des crédits sont accordés à des agents moins solvables, des comportements spéculatifs se développent et des bulles peuvent se former sur les prix de certains actifs (ex de l'immobilier en Espagne avant 2007). En fixant des taux d’intérêt trop bas en période d’expansion, les banques centrales peuvent amplifier ces comportements, tout comme les banques commerciales lorsqu’elles prêtent à des agents économiques ayant des projets trop risqués. C'est le «paradoxe de la tranquillité» mis en évidence par  Hyman Minsky, les périodes calmes sont des périodes où les agents économiques s'enrichissent ( immobilier, actions), tandis que l'excès de confiance fabriquent de l'instabilité.

            Ces excès peuvent conduire à une crise financière au moment où les anticipations se renversent ( moment Minsky) et plonger l’économie réelle dans la crise. Suite au krack, les prix (actions, immobilier) chutent, les ménages voient leur patrimoine diminuer vendent leur actifs amplifiant la chute des prix, les entreprises voient s'effondrer leur capitaux propres, les banques ayant dans leurs actifs de nombreuses créances douteuse limitent leurs prêts (crédit crunch), un climat de pessimisme s’installe. Ces éléments entraînent l’effondrement de la demande globale, de l’offre et de la demande de crédit. C’est ainsi que la dette qui a permis l'expansion  conduit à présent à la crise. 

 

Les agences de notation 

 

effondrement de l'immobilier.PNGeffondrement du crédit.PNG

  La baisse des prix d’actifs, donc de la richesse de ceux qui les détiennent, rend leur endettement excessif. Les entreprises endettées ne pouvant plus accéder au crédit licencient et baissent leurs prix. Le chômage fait pression à la baisse sur les salaires. Le processus de crise conduit alors à une « déflation par la dette » (I. Fisher),  la baisse de tous les prix augmente le poids réel de la dette pour les firmes, les Etats et les ménages endettés, les faillites se multiplient, ce qui aggrave en retour la situation des banques.

  Selon les économistes libéraux,  la déflation ( contraction des prix), qui s’accompagne en général de celle des grandeurs réelles (demande, production, emploi), peut assainir l’économie en éliminant les producteurs les moins efficaces. De plus, la chute de l’investissement pendant la déflation réduit la demande de capital et favorise la baisse des taux d’intérêt, tandis que le chômage contribue à la diminution des salaires. A un moment, le coût unitaire de production est si faible que l’activité des producteurs ayant survécu reprend.

            Cependant, l’existence d’un tel phénomène de « régulation par la faillite » a fait l‘objet d’une vive contestation par J.M. Keynes, qui souligne que seule l’intervention discrétionnaire de l’Etat peut permettre un redémarrage de l’activité économique sans mettre des pans entiers de la population au chômage.

 

  1. Définir : demande globale, choc de demande, choc d’offre, effet multiplicateur, effet accélérateur
  2. Qu’est ce qui diminue l’effet multiplicateur ?
  3. Quelle est la variable clé de la demande chez Keynes ? Pourquoi ?
  4. Réaliser le schéma d’un choc d’offre négatif à partir des courbes d’offre et de demande.
  5. Classez les éléments suivants dans le tableau : naisse du pouvoir d’achat, croissance des pays émergents, politique de relance, tsunami au Japon, toyotisme, hausse du coût des matières premières, innovation informatique
  6.  

     négatif

    positif

    Choc d’offre

     

     

    Choc de demande

     

     

  7. Réaliser un schéma permettant de comprendre le cycle du crédit avec les termes suivants : expansion, endettement, consommation, investissement, augmentation de la demande, augmentation des risques, comportements spéculatifs, bulles financières, moment Minsky, baisse de la valeur des actifs, vente des actifs, diminution de la demande, crédit crunch, diminution de l’investissement
  8. Pourquoi la baisse des prix augmente-t-il le poids de la dette ?
  9. La déflation est-elle mauvaise selon les libéraux ? Pourquoi ?

 

1. Pourquoi la déflation conduit-elle à une baisse des ventes ?

2. Quels sont les pays les plus concernés par la déflation  en Europe ?

3. Qui sont les agents économiques qui sont le plus touchés par la déflation ? les plus avantagés ?

4. Quelle sont les réaction de la BCE ?

5. Quelle sont les différences entre la situation européenne et celle du Japon des années 90 ?

 

 

vidéos sur la crise de 2008

 

exercice 2

exercice 3 

 

 

 


26/08/2015
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TD PCS

Fichier TD

Chap 6 Activité 2 LES CATEGORIES SOCIOPROFESSIONNELLES

Ouvrir le lien : http://www.statapprendre.education.fr/insee/emploi/default.htm

 

 

 

A.   La construction de la nomenclature des PCS 

Cliquez sur « GSP »

 

Doc 1 – Dès le XIXe siècle, à l'occasion des recensements, la population est classée en catégories professionnelles. Après

1945 et la création de l'Insee, une nomenclature est mise au point, qui sera utilisée, de 1954 à 1982. Cette nomencl ature classe la population en catégories socioprofessionnelles (CSP). Pour les concepteurs de cette classification, il s'agit de constituer des catégories ayant une certaine homogénéité sociale, dont les membres ont un sentiment d'appartenance commune, et perçues par les autres comme ayant une certaine unité. La profession est donc le point de départ de la classification, mais d'autres variables économiques et sociales interviennent. Ainsi, l'évolution de la situation économique et sociale et les progrès de la réflexion sociologique ont conduit à la mise en place, à partir du recensement de 1982, d'une nouvelle nomenclature des professions et catégories socioprofessionnelles (PCS). Les nomenclatures socioprofessionnelles ne sont pas utilisées seulement pour l'étude de la population active, mais aussi pour celle de la population totale. Chaque individu peut être classé dans la PCS de la "personne de référence" du ménage auquel il appartient (homme actif le plus âgé du ménage ou l'adulte actif le plus âgé pour les familles monoparentales). (Source : Alain Beitone, Hachette éducation, 1996)

 

Q1 – En lisant le texte donnez la définition d’une PCS ?

Q2. Quels sont les 3 éléments qui caractérisent une PCS ?

 

Cliquer dans le menu de gauche sur « Emploi global »  puis sur « mesure » puis sur « bulletin individuel du recensement de la population de 2013 »

 

Q3 – A partir des questions 23 à 25, dites quel est le critère qui a été retenu pour regrouper des professions socialement proches :

Q4 – A partir de la question 9, dites quel est le critère qui retenu pour regrouper des professions socialement proches :

Q5 – A partir de la question 28, dites quel est le critère qui retenu pour regrouper des métiers socialement proches :

Q6 – Indiquez de façon précise la profession de votre père ou de votre mère (le parent qui vous a à sa charge) :

 

Cliquez sur GSP puis « détail de la nomenclature des PCS » puis sur niveau 4

Q7 – Essayez de retrouver le code du métier de votre père et/ou de votre mère :

 

Cliquer sur « Répartition »

Q8.  En cliquant sur chaque PCS, donnez une définition synthétique des 6 premières PCS en utilisant un ou plusieurs des 5 critères de l’Insee :

1 – Agriculteurs exploitants

2 – Artisans, commerçants, chefs d’entreprise

3 – Cadres et professions intellectuelles supérieures

4 – Professions intermédiaires

5 – Employés

6 – Ouvriers

 

Faîtes l’exercice 1 et 2

Score exercice 1

Score exercice 2

 

Cliquez sur « Qualifications » puis sur « Diplôme et GSP »

Répondez aux cinq questions : Note :          /5

 

Q9 – Quelles sont les PCS les plus qualifiées ?

Q10 – Quelles sont les PCS les moins qualifiées ?

B. L’évolution des PCS

Cliquer sur évolution *

Q11.  Quels sont les GSP en expansion ?

Q12. A l’aide du tableau 1 , calculez le % de chaque PCS en 2011et remplissez le tableau 2

Q13 – Comment a évolué la part en % de ces catégories dans la population active en 50 ans ?

  • Les indépendants (agriculteurs, artisans, commerçants...)
  • Les salariés d’encadrement (cadres, professions intermédiaires)
  • Les salariés d’exécution (employés, ouvriers)

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évolution structure.PNG


24/01/2016
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Exposés multinationales

Exposé à réaliser par groupe de 2 à 4 sur le thème de la mondialisation de production : 

 

Observatoire des multinationales

 

Exposé 1. Après avoir présenté le coq sportif, vous expliquerez pourquoi cette entreprise relocalise sa production  

 

Relocalisation :  la délocalisation de la production génère des coûts indirects qui peuvent se révéler importants : coûts de transport, manque de réactivité, problème de qualité dans la production, de gaspillage, problème du manque de protection contre les contre-façons... En fin de compte, certaines entreprises font le choix de re-localiser leur production, car les coûts induits sont plus importants que les économies réalisées sur la main-d’œuvre. Cela été le cas récemment du Coq sportif et des skis Rossignol ou du shampooing Petrole Hahn, des jouets Smoby, des lunettes Atol, des chaussettes Kindy et des nappes et assiettes Geneviève Lethu revenus en France entre 2007 et 2009.

 

 

 

Exposé 2. Après avoir montré que le gouvernement a   choisi les multinationales françaises les plus polluante pour financer la COP 21, vous essayerez d'expliquer pourquoi.

Article 2

 

Exposé 3. Après avoir expliqué ce qu'est le TAFTA, vous montrerez que les multinationales cherchent à étendre leur influence

tafta-soumet-il-les-etats-europeens-aux-multinationales

 

Exposé 4 Après avoir expliqué l'organisation de la production d'Intel, vous expliquerez pourquoi cette multinationale s'implante en Israel 

le leader mondial des puces informatiques, Intel, a divisé sa production en trois grandes activités : la fabrication des tranches de silicium (les « wafers »), l’assemblage et les tests. La fabrication des tranches de silicium, de même que la recherche et le développement, est une activité intensive en travail qualifié, ce qui explique pourquoi Intel réalise cette production dans des pays où les niveaux d’éducation sont relativement élevés : les États-Unis, l’Irlande et Israël. En revanche, l’assemblage et les procédures de tests sont davantage des tâches de routine, intensives en travail non qualifié. Intel a localisé ces activités dans des pays où la main-d’œuvre est bon marché, comme la Malaisie, les Philippines, le Costa Rica et la Chine

usine d'Intel en Israel

Exposé 5. Après avoir expliqué comment les multinationales pouvaient faire de l'optimisation fiscale, vous expliquerez la stratégie d'Amazone, de Google ou de Face Book 

Comment fait Google ? 

La commission européenne sévit

 

Exposé 6. Après avoir expliqué les différentes raisons d'une fusion-acquisition, vous présenterez le rachat de Gravitant par IBM

IBM Gravitant

 

Exposé 7. Après avoir présenté l'entreprise Samsung, vous montrerez qu'elle est mise en cause pour des comportements non responsables. 

article observatoire des multinationales sur le travail des enfants

novethique

 

Exposé 8.  Après avoir expliqué ce qu'est le prix Pinocchio, vous expliquerez pourquoi Total a été nominé

nomination Total 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 


29/11/2015
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