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les vacances en ré

 Vacances en Ré


Vacances en Ré - 1ère partie (1/3) par stemol

1. Comparer – Complétez le tableau suivant.

 

Famille BOUZIANE

Famille DANIEL

Famille DEPAUW

Mode d'hébergement

Critères de choix des vacances

Activités de vacances

Usage de la plage et de l'océan

Type d’humour

Registre langage, registre vestimentaire

Sujets de discussion

Groupe d’appartenance

2. Illustrer – Donnez des exemples dans le documentaire illustrant la théorie du sociologue français Pierre Bourdieu selon laquelle :
- les individus de la classe populaire ont le "goût de la nécessité"
- les individus de la petite bourgeoisie (classe moyenne en ascension) manifestent de "la bonne volonté culturelle"
- les individus de la grande bourgeoisie (catégories dominantes ou supérieures) ont le "sens de la distinction"

3. Discuter – Quelle est la problématique du réalisateur (que veut-il démontrer) ? Quels peuvent être les effets de ses choix sur la présentation de la réalité des vacances de ces trois familles ?


26/04/2015
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Sociologie du football par Pierre Rondeau

06/02/2014

Emile Durkheim, sociologue français de la fin du XIX° siècle, a montré comment une société pouvait être amenée à créer de la déviance, à péricliter et à briser les liens sociaux qui unissent les individus : on parle d'anomie sociale. L'origine provient de la hausse de l'individualisme et de la mutation de la solidarité entre les agents. Ces changements sont eux-mêmes originaires des transformations économiques. Durkheim montre ainsi que la montée de l'individualisme et du capitalisme pouvaient être, à terme, facteurs d'anomie. En football, et encore plus dans le milieu professionnel, c'est précisément ce qu'il se passe, modification des contrats, des rémunérations et bouleversement du collectif. N'y a-t-il pas alors un risque à plus ou moins long terme ?

Dernièrement, la cérémonie du ballon d’or a provoqué la polémique en récompensant le talent individuel du madrilène Cristiano Ronaldo plutôt que le joueur du Bayern Munich Franck Ribéry. Malgré la flopée de titres obtenue par l’international Français, les votes se sont portés sur la seule performance du Portugais, le nombre important de buts et son jeu spectaculaire ont été préférés au palmarès et à la capacité à faire gagner une équipe toute entière.

L'INDIVIDU AVANT LE GROUPE
Dorénavant, dans le football moderne, le spectaculaire prime sur le collectif, le joueur prime sur l’équipe, en tout cas dans la reconnaissance internationale. Ribéry qui a remporté tous les trophées possibles durant la saison 2012/2013 n’a fini que 3ème du palmarès ballon d’or France Football. Au même moment, le fantasque Suédois Zlatan Ibrahimovic reçoit le prix Puskas, récompensant le plus beau but de l’année, pour un tir certes spectaculaire mais qui ne reflète en rien la qualité et la beauté du jeu collectif. Seul compte le talent individuel.



Le football est normalement un sport collectif, mais l’entrée dans l’ère professionnelle, l’ère de la starification et de la négociation individuelle des contrats a mis en concurrence directe des joueurs d’une même équipe et galvaudé le sens de l’esprit d’équipe. Aujourd’hui, les statistiques individuelles deviennent plus importantes que les statistiques collectives, on va préférer marquer, faire une passe décisive, faire le plus de récupération, le plus de dribbles plutôt que les mouvements collectifs et la victoire.

ANALYSE SOCIOLOGIQUE
La sociologie contemporaine s’est intéressée à cette crise du lien social dans les sociétés modernes, où la montée de l’individualisme a été un vecteur de modification des solidarités. On est passé d’une solidarité mécanique, constituée de petites communautés, où chacun avait une part importante dans la conduite sociale et où la moindre perturbation microsociale pouvait altérer le collectif, à une solidarité organique, la masse est constituée d’individualités autonomes et chacun participe à sa manière au tout social. On se situe ici dans l’image du corps humain, chaque élément a son rôle à joueur et si l’un d'eux venait à dépérir, le reste pourrait continuer sans encombre.
Contrairement à la solidarité mécanique où, comme les pièces d’une montre, si un individu venait à manquer, tout le processus s’écroulerait. Le football rejoint parfaitement ces notions de solidarité, que l’on doit au sociologue Emile Durkheim. Une équipe peut être vue comme un groupe social, constituée de plusieurs membres d’origine et de statut différents. La notion de coopération apparaît donc comme prépondérante : si un joueur dans le 11 de départ venait à se blesser, à se louper, à manquer son match, le résultat final de l’ensemble pourrait en pâtir. Il s’agit parfaitement d’une solidarité mécanique.

PHÉNOMÈNE GLOBAL
Or, depuis quelques années, la presse fait l’écho d’une starification des footballeurs professionnels. Ils apparaissent de plus en plus comme des individus autonomes au sein d’un groupe qui ne vivent que pour la réalisation de leur objectif personnel. Dans le même temps, le système de jeu a tellement évolué qu’un joueur peut, à lui tout seul, remporter le match, sans l’aide particulière de ses coéquipiers.
Lorsqu’on voit apparaître les différentes stars de la sphère football, comme Messi, Cristiano Ronaldo, Ibrahimovic, Ribéry ou Rooney, on ne pense pas au travail réalisé par le reste du groupe, aux multitudes de passes qui ont été réalisées, aux ballons interceptés, pour amener au tir somptueux de l’attaquant, au passement de jambes du buteur.L’individualisme s’installe dans le jeu collectif, le groupe est dépassé par le joueur. C’est la solidarité organique qui transparaît ici.Les joueurs deviennent des individus dans un équipe et non pas des coéquipiers coopérant pour la réalisation d'un objectif. Un conflit transparaît entre maximisation de l'utilité individuelle - marquer, passer, dribbler- pour se faire connaître et la maximisation de l'utilité collective : la victoire.

CONSÉQUENCES DANS LES FAITS
Cela apparaît encore plus dans la célébration des buts. La chaîne canal+ a, il y a peu, consacré un débat sur l'égoïsme parmi les buteurs qui ne fêtaient pas leurs buts avec le reste de l'équipe ou le passeur décisif mais absolument seuls [1]. Les Spécialistesmontraient même que certains joueurs ne fraternisaient même pas avec le public. Un comportement parfaitement égoïste et individualiste qui affiche une modification des liens sociaux. 
Il y a peu, les différents trophées individuels récompensaient le talent au service du groupe. Un défenseur comme Cannavaro pouvait remporter le ballon d'or en ayant pleinement participé à la victoire Italienne à la coupe du monde 2006 [2]. Il était le capitaine de l'équipe, le leader du groupe. Pourra-t-on voir, dans les années à venir, un milieu défensif, un défenseur voire un gardien remporter le ballon d'or France Football ? Le plus beau but récompensera-t-il le travail de l'équipe, du groupe dans son intégralité ou la performance individuelle, le talent brut ?

C'est un retournement des solidarités, le football s'installe petit à petit dans la solidarité organique, comme le reste de la civilisation moderne, individualiste et autonome. Le football est le reflet de la société et laisse transparaître ses failles les plus complexes.
Pierre Rondeau 
 
Q1. Qu'est ce que l'anomie ? 
Q2. Quels sont les éléments qui permettent de penser que l'individualisme se développe dans le football ? 
Q3. Quel rapport peut-on faire entre cette montée de l'individualisme et l'anomie ? 
Q4. Quelle est la différence entre la solidarité organique et la solidarité mécanique ? 
Q5. Expliquez en quoi l'évolution du jeu  permet de dire que le football s'installe progressivement dans la solidarité organique ? 
 
Pour aller plus loin avec Stéphane Beaud


26/04/2015
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Travail sur ressources humaines

Travail sur trois extraits du film Ressources humaines de Laurent Cantet :

 

-       extrait 1 : minute 1 à 5

-       extrait 2 : minute 12’30 à 15’45

-       extrait 3 : https://www.youtube.com/watch?v=xnwKuKZkxMk

 

Synopsis du film Ressources humaines réalisé en 1999 par Laurent Cantet

Frank, jeune étudiant dans une grande école de commerce, revient chez ses parents le temps d'un stage qu'il doit faire dans l'usine où son père est ouvrier depuis trente ans. Affecté au service des ressources humaines, il se croit de taille à bousculer le conservatisme de la direction qui a du mal à mener les négociations sur la réduction du temps de travail. Jusqu'au jour où il découvre que son travail sert de paravent à un plan de restructuration prévoyant le licenciement de douze personnes, dont son père.

 

Q1. Compléter le tableau à l’aide des vidéos

 

 

La famille de Franck

Le monde du travail de Franck

habillement

 

 

 

langage

 

 

 

valeurs

 

 

 

Relations entre les membres

 

 

 

Q2. En mobilisant le vocabulaire vu en début de chapitre, comment peut-on qualifier chacun des deux groupes ?

 

 Q3. Indiquez à quel type de milieu correspond chacun des groupes.

 

 Q4. Le milieu ouvrier est-il un groupe d'appartenance ou un groupe de référence pour Franck ?

 

Q5. En déduire la définition d’un groupe de référence et d’appartenance

 

Q6. Le passage d’un groupe d’appartenance à un groupe de référence va-t-il de soi ?

 

Q7. Conclure, complétez le texte à l’aide des termes suivants :

groupe d’appartenance, valeurs,  socialisé, socialisation anticipatrice, groupe de référence, groupe d’appartenance, normes, groupe de référence, primaire

 

Au couple …………………../secondaire, s’ajoute une autre opposition entre le ………………….…………………….. et…………………………….

Si l’individu appartient et est ………………….au sein de…………………………….,  il arrive qu’il prenne pour modèle de comportement les ………………et ………………. d’un autre groupe social : c’est ce que l’on nomme………………………………. L’adaptation au groupe de référence constitue une……………………………………..


09/04/2015
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la construction des genres

 Comment se fabriquent les filles et les garçons ?

 Document 1 – Rôles masculins et féminins, des données naturelles ?

Chez les Arapesh, tout semble organisé dans la petite enfance pour faire en sorte que le futur Arapesh, homme ou femme, soit un être doux, sensible, serviable. Alors que dans la tribu des Mundugomor, la conséquence du système d'éducation est plutôt d'entraîner la rivalité, voire l'agressivité, que ce soit chez les hommes, chez les femmes ou entre les sexes. Dans la première société, les enfants sont choyés sans distinction de sexe ; dans la seconde les enfants sont élevés durement car ils ne sont pas désirés, qu'ils soient garçon ou fille. Ces deux sociétés produisent, de par leurs méthodes culturelles, deux types de personnalité complète­ment opposés. En revanche, elles ont un point commun : ne faisant pas de distinction entre « psychologie féminine » et « psychologie mascu­line », elles n'en génèrent pas de personnalité spécifiquement mascu­line ou féminine. Selon la conception ordinaire dans notre société, l'Arapesh, homme ou femme, nous semble doté d'une personnalité plutôt féminine et le ou la Mundugomor d'une personnalité plutôt masculine, mais présenter ainsi les faits serait un contresens.

A l'inverse, les Chambuli, le troisième groupe, pensent comme nous qu'hommes et femmes sont profondément différents dans leur psycho­logie. Mais, contrairement à nous, ils sont persuadés que la femme est, par « nature », entreprenante, dynamique, solidaire avec les membres de son sexe, extravertie ; et que l'homme est, en revanche, sensible, moins sûr de lui, très soucieux de son apparence, facilement jaloux de ses semblables. C'est que, chez les Chambuli, ce sont les femmes qui détiennent le pouvoir économique et qui assurent l'essentiel de la subsistance du groupe, alors que les hommes se consacrent principalement à des activités cérémonielles et esthétiques, qui les mettent souvent en compétition les uns avec les autres.

Forte de ces analyses, Margaret Mead peut affirmer que « les traits de caractère que nous qualifions de masculins ou de féminins sont pour bon nombre d'entre eux, sinon en totalité, déterminés par le sexe d'une façon aussi superficielle que le sont les vêtements, les manières et la coiffure qu'une époque assigne à l'un ou l'autre sexe » [(1935) 1963, p. 252].

Denis Cuche, La notion de culture dans les sciences sociales, Repères n°205, La Découverte, 2004, p. 36-37

 

1) Résumer : Complétez le tableau suivant en suivant les consignes ci-dessous :
- Dans la première colonne, dites pour chacune des sociétés si la personnalité féminine est différente de la personnalité masculine (répondez par oui ou non).
- Dans les deux colonnes suivantes, relevez les adjectifs qui caractérisent les personnalités masculine et féminine dans les sociétés Arapesh, Mundugomor et Chambuli.
- Dans la dernière colonne, dites si les personnalités de ces sociétés correspondent aux personnalités masculines et féminines de la société française (comparez avec les adjectifs choisis dans l’exercice introductif).

 

Société

Rôles masculins et féminins différenciés ?

Rôle masculin

Rôle Féminin

Rôles correspondant à notre société ?

Arapesh

 

 

 

 

 

 

 

Mundugomor

 

 

 

 

 

 

Chambuli

 

 

 

 

 

 

2) Justifier - D’après l’étude de ces trois sociétés, quels sont les éléments qui permettent de dire que la personnalité individuelle ne s’explique pas par des caractéristiques biologiques ?
3) Expliquer - Comment expliquer que les femmes et les hommes occidentaux paraissent si différents des femmes et des hommes Chambouli ?
4) Définir – Proposez une définition de « rôle social ».

 

Document 2– La socialisation différenciée

 

Source : Bienvenue dans la vraie vie des femmes, CNDP, (2010)

1) Analyser - Quel est l’objectif des activités proposées aux filles et aux garçons dans les écoles suédoises ? Pourquoi ces activités sont-elles non mixtes ?
2) Décrire - Relevez dans le documentaire les comportements, attitudes ou pratiques qui sont valorisées chez les filles et les garçons en France.
3) Expliquer – Expliquez par quels processus concrets les enfants intériorisent ces comportements valorisés.
4) Expliquer - Que signifie cette phrase de la philosophe Simone de Beauvoir : « on ne nait pas femme, on le devient » ?

 

Doc 3 – Féminisation du corps des filles et pluralité des instances de socialisation

Dès la fin de l’école primaire, les filles sont plus nombreuses que leurs camarades masculins à se soucier de leur apparence. Elles sont en revanche moins nombreuses à aimer les jeux sportifs. Comment ces différences émergent elles ? Comment les enfants apprennent-ils à agir avec et sur leur corps d’une manière différente de l’autre sexe ? Martine Court, sociologue, analyse à partir d’une enquête auprès d’enfants de 10 à 12 ans la façon dont les corps féminins et masculins se construisent au cours de l’enfance.

"Virginie vit avec un père qui, loin d'expri­mer de la désapprobation lorsqu'elle adopte des conduites caractéristiques de la classe sexuelle des garçons, l'autorise au contraire - et même l'incite - très largement à agir de cette façon. (...) il accepte en effet que Virginie fasse un sport pratiqué avant tout par les garçons - le foot - dans le club de sa commune. (...) Plus généralement, M. Rodrigues est fier de voir sa fille se conduire comme un “garçon manqué” et il ne manque pas de le lui faire savoir. (...)"

"Cependant, en même temps qu'elle peut voir et entendre son père l'inciter indirectement à prêter une attention limitée à son apparence, Virginie est également exposée à des discours et à des modèles qui l'invitent précisément à s'en préoccuper. En dehors de l'école, Virginie ne fréquente régulièrement qu'une seule de ses camarades - une fille de sa classe prénommée Inès (...).. De temps en temps, (...) Inès propose à son amie de jouer à la poupée Bratz (Virginie en possède une, Inès, trois) et, même si ces jeux restent peu fréquents, ils donnent quand même aux deux filles l'occasion de manipuler des vêtements à la mode et d'échanger des avis à leur sujet."

"De son côté, Mme Rodrigues encourage Virginie à prêter attention à son apparence de différentes façons. (...) Virginie raconte que sa mère lui a apporté une aide essentielle lorsqu'elle a voulu se faire faire des mèches. C'est elle en effet qui est allée solliciter une voisine coiffeuse pour qu'elle fasse à sa fille la teinture que celle-ci souhaitait C'est elle également qui a choisi la couleur des mèches de Virginie, en accord avec cette voisine. Or, en voyant sa mère prendre ce type d'initiative, Virginie peut percevoir que celle-ci approuve sans réserve son intérêt pour le travail de l'apparence, et la perception de cette approbation contribue assurément à développer cet intérêt. (...)"

"Enfin, les médias semblent eux aussi jouer un rôle non négligeable dans la construction de l'intérêt que Virginie manifeste à l'égard des vêtements et de la mode. Virginie regarde en effet beaucoup les émissions de variétés à la télé­vision (pendant l'année de l'enquête et pendant la précédente, elle a suivi StarAcademy, Pop Star, À la recherche de la nouvelle star ainsi que Graines de star), et elle voue une admiration particulière à Lorie. (...) Elle a par exemple réclamé à sa mère de lui acheter une casquette blanche de la marque Nike, parce qu'elle ressemblait à celle de la chanteuse."

Martine Court, “Corps de filles, corps de garçons : une construction sociale”, la Dispute, 2010

 

1) Discuter - Le cas de Virginie correspond-il au stéréotype d’une fille de son âge ?
2) Synthétiser – Représentez sous forme de schéma les différents “agents de socialisation” qui interviennent dans la construction des goûts de Virginie.
3) Expliquer – En quoi l’achat de la casquette blanche est-il cohérent avec la socialisation de Virgine ?
4) Justifier – A partir de l’exemple de Virginie, montrez que l’existence de processus de socialisation n’est pas synonyme de déterminisme absolu dans la construction des individus.

 

Synthèse : Montrez, à l’aide de 2 exemples de votre choix, que l’existence de stéréotypes relatifs aux comportements des garçons et des filles a des effets en partie autoréalisateurs.

 


02/04/2015
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inégalités hommes-femmes

L’égalité hommes-femmes dans la famille et face à l’emploi

 

1 Tâches domestiques

http://www.statapprendre.education.fr/insee/par/famille/temps.htm

Q1 Dans quel pourcentage de cas, le père s'occupe-t-il toujours ou le plus souvent des repas ?

 

Q2 Quelles sont les activités faites majoritairement par les femmes ?

 

Q3. Après avoir répondu aux questions de ces deux pages, vous construirez deux paragraphes permettant de mettre en évidence le fait que les charges familiales des femmes les empêchent de s’investir professionnellement

http://www.statapprendre.education.fr/insee/par/famille/arret.htm

http://www.statapprendre.education.fr/insee/par/famille/enfants.htm

a)

 

 

b)

 

 

2.  Inégalités face à l’emploi

Q4. Quelles sont les caractéristiques des emplois féminins ? http://www.statapprendre.education.fr/insee/par/travail/formempl.htm

 

 

 

Q5.  Après avoir montré les inégalités de revenus entre hommes et femmes, (http://www.statapprendre.education.fr/insee/par/revenu/salaires_evol.htm ), vous en donnerez les causes. http://www.statapprendre.education.fr/insee/par/revenu/salaires_causes.htm

 

 

 TD-inégalités-de-genre.docx

 


02/04/2015
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